Quand la folie rôde... [Partie II]

Comme elle s'y était attendu, Rodolph l'attaqua. Prête a cette éventualité, elle avait agilement esquivé Dr.Chopper, envoyé par la brute. Ce qu'elle n'avait par contre pas prévu, c'était la fureur de Rodolph, décuplant ses habilités au delà du possible. Ou alors, c'était peut-être Sandrupt qui, fatiguée de son incroyable esquive, n'avait pu réagir assez vite. Toujours est-il que les conséquences de cela furent assez violentes.
Rodolph lui avait coupé le souffle, presque luxé la jambe et l'avais a moitié assommé.

Des points noirs commençaient a obscurcir la vue de l'amecronne. Elle secoua quelque peu sa tête, et attendit quelques secondes. Une fois le cerveau éclairci, elle se releva lentement, afin de ne pas tomber inconsciente. Sa tête se mit a tourner, elle s'était levée trop vite. Elle s'appuya contre le mur, et continua a patienter.
Une fois son malaise passé, elle s'approcha du docteur et lui adressa la parole, et pour une fois, ce ne fut pas pour l'engueuler:

"Tu as donc réussit a trouver ce qui n'allait pas chez lui... Bien joué... Il me semble avoir lu quelque chose la dessus un jour... C'était il y a environ...7 ans. C'est dans une bande dessinée... non... Un manga. L'homme atteint de cela avait commencé a tuer tout le monde, un a un, discrètement... J'espère que Rodolph ne fera pas pareil... Surveille le bien."

Bizarrement, Sandrupt ne ressentait aucune haine envers Rodolph pour son action... Elle était tout a fait justifiée... Sandrupt se rendit alors compte que Selrahc essayait de s'en tirer. Elle essaya donc de le faire rester au sein du groupe, envoyant assez banalement a Selrahc:

"Oh, Sel! Tu te souviens du nom du manga? On l'a lu ensemble je te rappelle!"

Ce gros mensonge ne pouvait être discerner par le garde, car il ne connaissait rien a leur vie. Par contre, le garde pourrait croire Selrahc quand même. Ils étaient tombes dans la merde, et ils allaient en sortir ensemble. Sandrupt était tombée bien bas dans l'estime des autres, et elle le savait. Elle avait une grande envie de corriger le gamin qu'était Selrahc, mais il devaient combattre ensemble... La fusilière devait essayer de remonter dans l'estime des autres. Elle ferait maintenant très attention a ses actions.

Extrait de mes pensées lorsque je dors :
**Mal à la tête, tous les tuer, suis dans la merde, pas vu le garde, manger, venger Jack, écrouler le plafond, supérieur de Goéland, médecin pourri, partir à la retraite, faire les courses, geeker sur starcraft 15, trouver son épée, sortir son épée, frapper avec son épée, devenir fort, cerveau déréglé, trouver Krams, SE SORTIR DE CETTE MERDE**

Au moment où la dernière pensée atteint mon cerveau, je commence à bouger (et oui je suis somnambule) et vais chercher mon épée, je fais deux-trois mouvements d'entraînement dans le vide et je commence à faire des pompes. Au bout de la centième je vais me rendormir.

Extrait de mes pensées pendant la petite crise de somnambulisme :
**S'entraîner pour sortir de la merde, s'entraîner pour devenir plus fort, s'entraîner pour buter tous les gens sur mon chemin, s'entraîner pour draguer**

Je me mets à crier en rêvant :
"Il est l'heure de bouffer du poulet mais d'abord on égorge le poulet et après on lui enlève les plumes"

Puis plus rien, je dors profondément et celui qui me réveille subira mon courroux.

Selrahc, je viens de remarquer que je ne t'avais pas mis un coffret de Nexues dans ton inventaire que tu es sensé avoir obtenu suite à la fouille dans la grotte de la partie 1. Tu peux l'utiliser si tu veux^^


Goéland et Ibiscus regardent votre manège. Ils sont interloqués et choqués. Quand le bordel se termine, un grand blanc de cinq secondes s'installe. Puis Goéland éclate de rire et se roule litéralement par terre. Ibiscus s'emporte et vous geule des trucs incompréhensibles. Il se retourne et s'en va.
Il ne reste que Goéland. Les tentatives de persuasion n'ont apparemment pas marchée... L'attitude de Rodolph et de Chopper n'a pas du vraiment aider.
Goéland applaudit en faisant des commentaires déplaisants du genre "j'espère que les caméras ont filmées".
Il se calme et ne dit plus rien pendant le reste du voyage.
Vous êtes escortés à l'extérieur du vaisseau par des gardes.
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Vous descendez du vaisseau en étant poussés par le bout des canons des armes des gardes. Ils ne vous ménagent pas vraiment.
La plateforme d'atterrissage est petite et un des hommes vous somme d'avancer. Vous allez donc sur la passerelle en face et c'est alors que vous voyez un homme en trop.
Il est familier et il se dirige nochalamment au centre des gardes, avec Krams à l'intérieur.
Vous criez d'étonnement quand vous vous rendez compte que cet homme n'est autre que l'homme sensé être mort dans votre cellule !
Sans avoir le temps de faire un geste, vous le regardez, impuissant, enlever le vêtement qui le recouvrait et activer les explosifs placés sur son corps...

Le souffle vous projette et vous manquez de tomber de la passerelle. Vous vous relevez, en appréciant l'odeur des corps brûlés.
Krams est au centre, le ventre en sang. Il n'y a pas besoin d'être médecin pour comprendre qu'il n'y a plus rien à faire.

"S'il vous plait... Arrêtez Kirovsk... Il est bien capable de faire sombrer le monde dans la folie... Et puis, dites au Grand Mani..."

Il expire dans une gerbe de sang. Vous détalez, sachant que rester près d'eux ne vous apportera que des ennuis supplémentaires.

Vous sortez du hangar à vaisseau.
Vous êtes dans Kinn'fs. Une ville assez grande mais basique. Il n'y a rien de spécial ici. Les commerces sont normaux et peu sont exceptionnels.
Vous êtes sur une petite place. Il y a une petite épicerie seulement. Peu intéressant.
Que faites-vous ?

J'entends les gardes qui me réveillent, qui me prennent et qui m'obligent à me lever, je dormais bien pourtant et je faisais des beaux rêves avec des tas de pirates crevés

**Je vais tous les buter si ça continue comme ça**
Je suis à deux doigts de péter un câble quand je vois le soldat qui arrive et qui fait tout péter. En voyant tout ça 2-3 pensées investissent mon cerveau.

**Ah, AH ils l'ont dans le cul les salauds, mais pourquoi on avait pas un sniper avec nous on aurait pu sauver Krams. De toute façon on est en ville, à moi les marchands d'armes**

Je m'approche du groupe et dit :
"Bon, moi je vais au marchand d'armes, celui qui veut venir me suit aussi, mais d'abord, on se retrouve ou ?"

J'attends la réponse avec impatience

Après avoir été témoin de cette scène d'une violence magnifique qui me fait presque bander je me tourne vers le hangar et je me dit que j'aurais du rester pour récupérer l'équipement ...

"hey Rodolph! Moi je te suis, les armes sont la fierté de l'homme qui les portent et j'ai hâte d'avoir une meilleur fierté si tu voit ce que je veut dire mais je pense qu'il faudrait passer aussi chez le marchand d'armure."

***Une ville! Enfin! de la civilisation non contaminé et normalement intelligente !! ***

j'observe les alentours et je guette une éventuelle nouvelle emmerde, sa serais con d'en avoir encore une vu qu'on viens de se tirer d'une autre

"bon moi je pense que la meilleur chose qu'on peut faire pour arrêter le docteur méchant c'est prévenir des professionnelles et se remettre a vivre notre vie tranquillement ..."

Selarch regarde l'explosion, puis la "triste" mort de Krams l'enflure d'enc**** de sa ****, enfin bref...
La réaparition du garde ne l'étonne pas, d'autant qu'elle est relativement courte vu l'attentat suicide, puis avec tout ce qui se passe. Kirovsk... Le grand Manitou... En fait, Selrahc en a tellement rien à faire, qu'il décide de ne... En fait la curiosité vient à bout de lui. Il veut savoir comment Kirovsk sera châtié!!!

"Bon bah moi je vais à l'épicerie..."

Il sait que les autres n'en ont rien à foutre, mais il veut par cette phrase les dissuader de le suivre. Une fois dans l'épicerie:

"Bonjour (notez que ce n'est pas normal que Selrahc dise bonjour...). 150grammes de lardons et la même chose en patates s'il vous plaît (tient ça aussi c'est pas normal...), ainsi que deux steak de bovins des plaines de Mysrios."

Il attend que ça commande arrive puis demande:

"Vous n'aurez pas entendu parler de récents événements troublant? Notament par rapport à Herfane?"

Il fait tout son possible pour qu'une réponse constructives lui parvienne.

Je regrette d'avoir aidé ce type. N'empêche qu'il est resistant le bougre, il n'avait plus d'intestin !
Je remarque l'homme des cavernes qui tente de glaner quelques infos dans une épicerie. J'y crois pas. Il est ultra-radin ou ultra-arrièré ?
Je vais dans un magasin de gadget, je m'achète un ordiphone (tapez le dans google si vous ne connaissez pas), peu importe le prix et je me branche dans la zone wifi de la ville.
Ben oui, dans l'ère de l'information, un petit processeur à 21 qubits (tapez le dans google si vous ne connaissez pas) c'est bon marché et on peut y mettre autant d'aps qu'on veut. Y compris le journal sur internet. Pendant que le journal télécharge (3.6 secondes), je met de l'ordre dans ma tête. Je dois :
1. Ecrire à la presse l'horreur de la situation. Plus on rappelle au public qu'i y a une catastrophe, plus ils envoyent de fric. Ma bonne action de cette journée infernale.
2. Envoyer à la communauté scientifique mes observations et l'antidote incomplet pour trouver un antidote qui fonctionne. Les médicaments, ça se vend cher.
3. Appeller la police pour signaler qu'un individu dangereux est en liberté (Rodolphe), qu'il y a un léger problème d'attaque sucidaire à l'astroport et des individus possiblement infectés par la folie de Herfane dans cette.

Après je me tire, c'est plus mon affaire. Je devrais pouvoir m'installer ici, et me faire une clientèle en quelques mois.

Signé : Dr. Chopper le Tordu qui fait sa révérence

HRP: Selrahc, quand te décidera tu a envoyer un MP pour signaler ce qui ne vas pas? c'est plus propre que d’écrire un message hors sujet...

Durant le peu de temps qu'il restait avant l’atterrissage, Sandrupt se mit a penser. Quel était donc cette manière d'agir et de penser? Elle n'en avait rien a faire de la confiance des autres... Il fallait juste qu'elle ne se fasse pas trop frapper par les autres et qu'elle ne se fasse pas abandonner par les autres... Aurait elle une seconde personnalité, plus gentille? Non... Ce n’était pas possible... Elle devait ce reprendre... Le mal de tête suite au coup de Rodolph la reprit, alors elle arrêta de penser.

A présent, elle était à l'extérieur du vaisseau. Elle mit quelques temps à reconnaître l'homme qui les avait sortit de leur cellule, et il était mort avant qu'elle puisse le dire à quiconque. L'odeur de chair brûlée lui chatouillait doucement les narines, un sentiment de bien être la parcourait. C'est a peine si elle entendit la demande de Krams.

Apres avoir couru quelques temps, ils étaient arrivés sur une place. Chacun voulait et commençait à partir de son côté, pour s'acheter divers objets...

"Mais vous êtes con ou vous le faites exprès??? Vous ne connaissez pas la ville, on est toujours poursuivis par la justice si Krams a envoyé des messages radios et tout ce que vous pensez a faire c'est du shopping?!? Vous me décevez les mecs... Franchement... Bon... Le destin nous a emmené sur une place avec une seule petite épicerie paumée. On est perdu, et on a un vague but. Alors on va pas se séparer, et on va essayer de se débrouiller. On ira acheter des armes après Rodolph... Pas besoin de me frapper. Ah et... Une dernière chose... Le premier qui parle à la police, la presse, ou autre organisation, il se prend une balle dans la tronche, et je brûle ses organes sexuelles, avant de les lui faire enfoncer dans le nez."

Sandrupt rejoint ensuite Selrahc dans l'épicerie. Elle commanda elle aussi a manger, essayant de prendre ce qui la nourrissait le plus mais qui etait le moins cher et le moins encombrant. Elle s’accommoderait au gout. Elle demanda aussi si l'épicier avait une carte, et si non, lui demanda des informations sur ou ils pourraient en trouver, et aussi sur l'emplacement du plus proche magasin d'armes.


Contrairement à ce que l'on pourrait penser, réussir à tout gâcher n'est pas une réussite, mais un échec.

HRP : Bon allez, les vacances sont finies, je sauterais le tour de ceux qui ne postent pas pendant les trois jours. ET METTEZ EN GRAS UNE ACTION DEMANDANT UN JET DE DES !!!
Ensuite Chopper, comme l'a souligné le message (qu'il aurait pu faire passer autremeny...) de Selrahc, tu en peux pas donner d'informations aussi précises car tu n'as absolument aucune idée de la présence d'un magasin et de la disponibilité de ces articles... Ensuite même avec ton gros tas de Crédits, tu ne peux peut-être pas t'en fournir et encore moins si tu comptes t'installer ici pour ouvrir un cabinet...

Vu que vous avez apparemment envie de tous vous séparer mais que vous n'écoutez pas la proposition sensée de Rodolph qui est de se donner un RDV, vous allez tous ensemble dans un magasin...

Vous pénétrez dans l'épicerie prudemment, désireux de ne pas trop se faire remarquer. En effet, cinq personnes à la fois n'est pas forcément pour plaire au vendeur, un Polyro bourru qui penche un peu la tête pour éviter de s'arracher le cuir chevelu à cause du plafond.
Il regarde le pauvre jeune qui a l'air d'avoir été la victime désignée pour passer la commande.
Ce qu'il demandait coutait cher, mais l'ancien esprit guerrier berserk de son clan perdu dans le splaines lui rappella que pour avoir de la viandasse, il fallait en payer le prix.

"Quarante crédits, s'il vous plaît."
La question de Selrahc fait lever les sourcils au Polyro. Ce n'est pas un client comme les autres et il n'aime pas les clients comme les autres.
Il est obligé de répondre, parceque sinon les cinq crétins ne débarasseront pas la boutique. Il grogne un poil et dit :

" 'Parait que y'a eu un incendie dévastateur. Mêmes pas foutus d'avoir des bâtiments ign..infug..igna... enfin protégés contre le feu."

Le Polyro prit la commande de l'Amecronne qu'il reluqua rapidement. sa chose la plus nutritive ? Euh... Il n'avait jamais goûté la bouffe de sa propre épicerie, il n'en avait aucune idée. Il proposa alors un steak de bovin, pareil et demanda quinze crédits à l'Amecronne. Il attendit le règlement des clients pour leur donner la nourriture.
Il leur indiqua aussi pour passer le temps, l'emplacement d'un magasin d'armes où il se fournissait très souvent.

"Il est vachement bien ! Vous prenez la rue des Tulipes puis vous tournez directement à gauche. Ensuite vous allez tout droit jusqu'au magasin de tapis qui est fermé et vous tournez à droite. Vous marchez un peu et il est au fond de l'impasse. Voilà."

Le Polyro sort la nourriture et attends l'argent. Il regarde le groupe, un peu surpris de voir un tel atroupement, mais se désintéresse rapidement de vous car vous allez bientôt partir. (Il espère.)

Je suit donc le groupe après mettre presque pissé dessus devant les propos sur le fait de brûler nos organes sexuels et l’appel de mon ventre se fait sentir aussi, de toutes façons il y a intérêt que nous allions acheter des armures et des armes parce que sinon je boude!.

***Putain mais c'est que la viandasse elle est chère! Et si j’essayais de le faire baisser ses prix?***

J’essaye donc de le faire baisser ses prix grâce a mes sage paroles:
"Oulala mais sa coûte aussi chère la bouffe de nos jours? et ben dit donc tu fait payer aussi chère des guerriers qui ressortent d'un glorieuse bataille? Aller mon ami tu peut bien faire un peu moins chère juste pour nous, non? On va dire dix crédit pour un bon steak de bovin et tout le monde est content!"

***Hé hé hé après un discours aussi majestueux il ne peut qu'accepter!***

Après cela, qu'il accepte ou non j’achète son steak et, en compagnie de mes amis nous allons vers le marchand d'arme qui nous a été indiquez et chez qui nous trouverons, je l’espère, des armures ou une bonne adresse pour en acheter

**Tout le monde a l'air de vouloir acheter de la bouffe alors moi aussi je vais le faire, je commence à avoir faim avec toutes ces conneries**
Je m'approche du polyro sans être apeuré, de toute façon je suis pas une mauviette et rien ne me fait peur ou presque. Je réfléchis pendant deux minutes et je dis :
"C'est pas dur, je veux beaucoup de viande, du steak de bovin ça ira, on va dire... Trois steaks, ça suffira pour le repas du midi et peut-être pour le repas du soir avec de la chance sinon je reviendrai en acheter"
J'attends la commande puis je donne les crédits, je prends ma bouffe et je pars de l'épicerie, je mange sur un endroit où je peux m'asseoir (un banc par exemple) et ensuite je suis ceux qui veulent aller au magasin d'armes, de toute façon je me rappelle déjà plus comment y aller.

Et on saute le tour de ceux qui n'ont pas posté^^

Lusty échoue sa tentative de marchandage et ils doivent finalement payer le prix normal.
Lusty paye son steak 15 Crédits
Selrahc paye ses 150 grammes de lardons, 150 grammes de patates et ses deux steaks de bovin 40 Crédits.
Sandrupt paye son steak de bovin 15 Crédits
Rodolph paye ses trois steaks 45 Crédits.

Le Polyro regarde Rodolph et lui dit amicalement :
"C'est le repas du guerrier, hein ?"
Heureux de s'être fait un joli petit profit, le vendeur encaisse l'argent et regarde el groupe sortir.
Vous mangez (sauf Chopper qui n'a rien acheté...) tranquillement dans un coin pour ne pas vous faire chopper par les Policiers qui sont probablement en train de chercher les responsables de l'explosion...
Rassasiés, vous entrez dans le magasin d'armes... de corps-à-corps...
Rodolph saute de joie et examine les articles. Une vendeuse Vestus s'approche et vous demande ce que vous désirez.
Que faites-vous ?

EDIT : Cela fait environ deux jours que l'aventure a commencé. (Jour 1 fuite de l'hotel à Herfane jusqu'à la grotte. Jour 2 -> Vaisseau, puis arrivée dans la ville. Il est à peu près 13h)

Maieueuh, y en a marreueueuh...
Y a pas un panneau, rien qui dirait "Sortie du cauchemar par ici"?
La police, l'hôpital, ni même la sortie?
J'ai même plus le moral necessaire pour parler...
Ô Grand MJ par pitié envoie-moi un chance de quitter cette asile ambulant!
J'espère avoir un peu de chance et de cléménce de la part des dés...

Signé: Dr. Chopper le Tordu qui en a marreuh

**Ce n'est pas des flingues, ni des armes à feu, ni des gatlings, ni un schtroumph c'est des swords, mouhahaha, hein quoi j'ai pensé swords ? Non je déconne c'était épée, de toute façon les swords c'est des fusils gauss modifiés pas des armes avec une lame et une poignée, de toute façon je suis trop fort en anglais je suis unebitèbel (qui trouvera le mot que je voulais dire ?)**

J'ignore la dame et je fonce voir les articles, je pousse des cris de joie ou je dis des phrases bizarres du genre "Ah, oh, moche, mauvaise poignée, je roxx, trop bon pour se curer le nez, je la veux... en fait trop chère, elle a la classe... ou pas, une femme c'est comme une épée à double tranchant, je ne suis pas macho etc..." en regardant les articles. Parfois je sors mon épée pour comparer. Après ce quart d'heure d'inspection je vais voir la vendeuse que je remarque enfin et je lui dis :
"Bonjour, vous êtes la vendeuse ? Il est trop cool ce magasin, heureusement que ce polyro nous l'a conseillé, j'irai le remercier d'ailleurs si je retrouve le chemin. Alors j'ai plusieurs questions. Déjà, voilà mes crédits je sors les crédits que j'ai et je les montre à la vendeuse j'aimerai savoir si vous avez une épée meilleure que celle que j'ai déjà je sors mon épée, je la regarde avec un soupçon de tristesse en repensant à mon maître mais de toute façon elle sera plus utile si je la vends, donc je la lui montre et qui soit dans mes moyens et une dernière question, j'ai une épée tronçonneuse dans mon sac et j'aimerai bien la revendre, est ce que je peux vous la vendre ?"

Selrahc regarde l'impressionnant arsenal d'épées en tout genres, de tronçonneuses, de vibrolames, de lame lasers... La moindre composante électronique l'intéresse, et il pose des questions qui n'attendent pas de réponses, vu qu'il les connaît déjà...

*On retrouve le bon vieux Rodolph...*
*On le connaît pas depuis très longtemps... Je dirais à peu près une semaine, avec tout les black outs...*

"Hey Rodolph, vient voir celle-ci, avec ce .... et là le... ça permet de ... enfin, bref un truc busay! Putain le prix! Genre un PC ça coûte moins cher!"

Puis enfin, le sujet qui le taraude depuis que cette aventure a commencée, remonte à la surface...

"Vous savez si il y a un magasin d’électronique?"

Question anodine, mais révélatrice...

~~oOo~~

Si vous êtes sous windows, vous êtes un looser, sous mac, un pd, et sous linux un pauvre!

Sandrupt avait fini de se rassasier a moitié, quand le groupe decida encore une fois de bouger. C'est qu'elle en avait un peu marre de marcher. Ils entrerent dans une rue de taille moyenne, ni trop salle ni trop propre. Le magasin fut assez facile a trouver. Sandrupt n'avait pas remarqué l'insigne désignant ce magasin comme un magasin d'armes de corps a corps. Sa déception fut donc assez grande quand elle vit que le magasin était remplit d'epées et d'autres armes de ce style. Il était vrai que c'était un polyro qui l'avait conseillé... Certaines armes pouvaient ressembler a une arme de distance, vue de loin, pendant une nuit sans lune et nuageuse, avec un bandeau sur les yeux... Autant dire que rien n'y ressemblait. La Vestus, qui tenait apparemment ce magasin s'était approchée du groupe. Rodolph était partit dans un monde connut de lui seul, et toujours aucune arme a distance.
Sandrupt essaye de revendre ses deux vieux glocks, meme si c'est un magasin d'armes de corps a corps.

"S'il vous plait mademoiselle. Ce sont deux tres bonnes armes! Elle ont certes servies, mais elle marchent encore tres bien! Et puis, cela vous permettra de vous mettre a la vente d'armes a distance! Tenez je vous fait ces deux vieux glocks a seulement 45 crédits! C'est une affaire!"

Sandrupt est prete a baisser son prix jusqu'a 30 credits les deux glocks. Une fois le marchandage finit, elle demande si il n'y a pas un magasins d'armes a distance dans les parages, et si la vendeuse n'a pas un plan.

***.......................................................Fait chier***

Je me mit a bouder parce qu'il n'y avait aucune arme a distance alors que bon moi la force... Je décide alors de critiquer toutes les armes du plus fort de mon être avec beaucoup de remarque du genre:

"Oh mais comment c'est moche ce truc! Et cella la elle couperait même pas du beure a moitier fondu! C'est quoi cette odeur? Ah ok c'est cette épée qui se suicide en remarquant qu'elle est moche!"

Après cela et après avoir fait une énorme insulte intérieur sur les armes de corps a corps je me tourne vers la vendeuse et je demande:

"Bon vu que ya que d'la merde ici tu connaîtrais pas un magasin avec des armes a distance ou des armures?"

La Vestus regarde Rodolph, incrédule, s'agiter devant les articles qui semblent l'intéresser. Fière du succès de son magasin, qui est quand même bien fourni, elle est ravie d'avoir un Soldat à servir. Elle aime commercer et les Soldats sont la plupart du temps les clients les plus sympathiques et le plus apte à obtenir une petite ristourne de 5%.
Elle regarde Rodolph déballer ses maigres crédits et est un peu déçue. Cela n'ouvre pas beaucoup de portes... Voire aucune, car si le Soldat veut une épée meilleure que celle qu'il a déjà...
Elle n'a pas le temps d'entendre la suite, car Selrahc les interromps. Un peu agacée, elle le signale avec un faible battement d'ailes, puis donne les indications au Criminel. C'est à environ cinq minutes de marche et l'adolescent sera obligé de pénétrer plus profondément dans la ville.
Là, Lusty fait son apparition et insulte ouvertement le contenu du magasin. Outrée, la Vestus cherche des yeux un adulte responsable et lance un regard accusateur au docteur. Elle réponds qu'un magasin d'armes à distance se trouve au centre de la ville mais il faudra pour cela errer plus de vingt minutes dans Kinn'fs jusqu'au centre-ville.
Sandrupt apparaît et propose de vendre des vieux glocks. Passablement énervée par ces affronts en chaîne qui ne font que croître en insolence et réponds d'un ton sec :

"Ecoutez madame, nous sommes un magasin d'armes de contact au corps-à-corps. je n'ai aucune expertise en ce qui concerne ces armes et je vous prierai d'arrêter de semer le trouble dans ce magasin. Je viens d'indiquer la direction du magasin d'armes à distance le plus proche, donc je vous conseille d'y aller à présent. Merci;"

Elle regarde ensuite Rodolph du genre "heureusement qu'il y a des gens dignes d'intérêt ici" et se rends compte qu'il veut lui vendre son épée. Elle s'excuse du gros vent qu'elle lui a foutu et regarde l'arme. Après quelques coups d'oeil, elle lui annonce :

"Je vous en donne 26 Crédits. C'est une arme intéressante, vous voyez les éraflures ici et là donnent un effet artistique assez joli. Les clients peuvent la considérer comme une œuvre d'art et l'acheter, même si elle est en mauvais état. Si vous me la vendez, vous pourrez acheter une de nos lames rares énergétiques ! Elles sont aussi performantes que l'épée énergétique que vous possédez déjà mais le matériel énergétique est allégé, vous avez donc plus de facilité à porter un coup."

Elle sourit au météorologue et espère que les gêneurs vont bientôt partir, puis elle lui fait essayer l'épée et lui annonce le prix : 50 Crédits.
Pendant ce temps, le reste du groupe jalouse Rodolph qui est en train de se faire draguer par la Vestus.

Que faites-vous ?

PS : désolé de cette absence, pour me faire pardonner, je vous donnerai... 1 XP à chacun (tiré au d6 mouahahah)

"Excusez-leur impolitesse, il sont parfois un peu immature et je n'ai pas fait attention"
Je dis à la vendeuse en faisant genre l'adulte autoritaire qui les laisse des petits gamins tout seuls cinq minutes.
Je lance un regard noir à Sandrupt et à toute personne qui semble dévisager la belle demoiselle. C'est vrai, elle a un tic de nervosité remarquable même pour des yeux inexperimentés mais ce n'est pas une excuse pour la regarder comme ça...
Puis, je pousse les autres vers la sortie en disant,
"De toute façon, on a un emploi du temps chargé donc on reviendra te chercher ici dans une heure Rodolph pendant qu'on regarde les jolis magasins de Kinn'fs. N'est-ce pas? "

En chemin vers le magasin d'électronique,(avec le maximum de co- euh de compagnons) je commence à bouillir. Des vrais petits gamins et après c'est moi qui prend sur la tête.

Signé : Dr. Chopper le Tordu

Sandrupt était étonnée de la politesse de la vendeuse. Malgré les dires de Lusty, l'acharnement dont elle avait fait preuve pour revendre quelques glocks de nase, la vendeuse l'avait à peine repris et elle n'avait pas perdu son sang froid. Ces éléments vinrent la perturber, l’empêchant ainsi de réaliser qu'elle s'était fait rétamer par la vendeuse, malgré la voix plutôt calme. Sandrupt compris tout de même qu'il était vain d'essayer de marchander avec cette Vestus. Pendant que DR. Chopper les poussait au dehors en marmonnant des excuses et en les traitant d'enfants (Sandrupt fit une note mentale de le reprendre sur ce point), Sandrupt adressa la parole a Rodolph:

"Bon, moi je vais aller au magasin d'armes a distance, ou ils vendront sans doute quelque chose de bien. Ceux qui le veulent sont libres de m'accompagner. Je propose que l'on se retrouve dans une heure au plus tard au magasin de nourriture. On discutera de ce que l'on doit faire. Aussi, je propose un chef de groupe. Je vote Rodolph."

Sur ce, Sandrupt sortit du magasin, et commença a suivre les direction de la Vestus. Elle savait qu'il valait mieux ne pas se séparer, mais elle n'en avait rien a faire. Seul l'envie de revendre et d'acheter persistaient dans sa tête.

J'écoute calmement la vendeuse qui annonce les prix malgré les insultes de Lusty et les questions inutiles (selon moi) des autres, et je lui dis :
"Vos prix ont l'air intéressant, je vais y réfléchir mais attendez deux secondes, j'ai quelque chose à faire."

Ensuite je me retourne et voyant Lusty je commence à m'énerver, je m'approche de lui, je le porte jusqu'à la sortie et je le jette au sol tout en lui disant :
"Tu insultes encore une fois une épée ou un magasins d'épées tu ne boufferas pas que le sol"
Ensuite je vois Dr Chopper qui essaye de faire sortir les autres en montrant qu'il est un adulte responsable. Puis Selrahc, n'acceptant pas cette prise d'autorité essaye de lui mettre un coup dans les boules, je me mets à rire intérieurement tellement la scène est ridicule.

J'écoute Selrahc et je lui réponds :
"Ok pour qu'on discute mais tu attendras que je finisse ce que j'ai à faire dans ce magasin"
Ensuite j'entends Sandrupt parler d'un rendez-vous dans une heure au magasin de nourriture et d'une histoire de chef de groupe. Sentant que tout ceci commence à me dépasser intellectuellement et mémorialement (c'est beau hein ?), je prends une grosse voix et je dis :
"Tout le monde devant le magasin d'épées dans une heure, vous pouvez revenir avant mais j'attendrai pas les retardataires, et un dernier truc, vous attendez devant, pas dedans"

J'attends que tout le monde sorte puis je reviens vers la vendeuse en souriant, je lui dis :
"Désolé pour ce petit problème, il fallait que je les vire avant qu'ils ne fassent n'importe quoi et ils font partie de mon groupe donc je devais leur donner un point de rendez-vous. Normalement ils ne devraient plus revenir. De toute façon si ils reviennent je les vire dehors encore une fois, je les connais ils seraient capables de brûler ce magasin sans faire exprès.
Je me plonge dans mes pensées pendant une trentaine de secondes pour repenser à ce que je suis venu faire ici et je reprends:
"Ah oui, c'est vrai. Parlons affaires maintenant que tout est calme, est ce qu'il est possible d'arrondir le prix de l'arme que je veux vendre à 30 crédits, comme vous l'avez dit c'est une arme artistique et en plus elle appartenait à mon maître et j'aimerai bien qu'elle soit vendu à au moins 30 crédits. Tout en disant ça, je fais un sourire triste en essayant de repenser à mon maître.

Je me reprends quelques secondes plus tard et j'enchaîne :
"Ensuite, votre arme m'intéresse beaucoup et le prix a l'air juste mais j'aimerai savoir, avez-vous quelque chose de mieux si je vends l'épée que je porte en ce moment, je sors mon épée et je lui montre, elle est presque neuve, je l'ai trouvé pendant mes aventures mais je l'ai très peu utilisé, il y a un manque cruel d'ennemis à tabasser en ce moment d'ailleurs, c'est un peu pour ça que ma bourse est vide."
Après ce long discours, j'arrête et j'attends que la vendeuse me réponde.

La Vestus regarde le docteur faire sortir les autres et lui répondre qu'il n'y a pas de mal pendant que Selrahc tente d'asséner un coup dans ses bijoux de famille (qu'il rate parce qu'il n'a pas mis le texte en gras). Quand Selrahc lui pose la question, elle réfléchit un peu puis réponds :

"Non, désolée, je ne me souviens pas d'un politicien pareil."

Elle n'essaye pas de s'emmêler dans des affaires étranges et même si savoir pourquoi un groupe si hétéroclite veut des informations sur un politicien, elle s'abstient de le demander.
Après que le silence se soit de nouveau réinstallé dans le magasin, les affaires reprennent. La Vestus écoute la demande de Rodolph. Certes, l'épée pouvait très bien appartenir à son maître, le prix ne devait pas changer.

"Vous comprendrez que même si votre histoire me touche, il n'y a aucune preuve. Mais je veux bien vous croire, car obtenir des éraflures pareilles était sans doute volontaire. Soit, j'arrondis à 30 Crédits."

Elle se sent un peu honteuse d'avoir cédée, mais après tout, la fermeture est loin à l'horizon.
Quand Rodolph lui propose de vendre l'arme, elle l'examine et réponds :

"Je la prends 20 Crédits, pas plus. Si vous voulez achetez encore mieux, vous n'aurez pas assez. Je calcule que vous n'aurez que 88 Crédits et ce ne sont pas des moyens suffisants. Même si vous aviez assez, je vous le déconseillerais : vous n'aurez plus aucun crédit avec vous après. Donc vous me vendez ces deux épée, pour un total de 50 Crédits et je vous vends la nouvelle épée à 50 Crédits, marché conclu ?"

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Pendant ce temps, Lusty et Sandrupt se dirigent vers le magasin d'armes à distance. Quand ils arrivent devant la baraque, ils se rendent compte que le magasin est bien moins classieux que celui d'armes de contact. Les rayons à l'intérieur sont serrés et la boutique donne un effet de claustrophobie.
Un homme jeune, probablement le même âge que Sandrupt, apparaît entre deux rayons. Il s'essuie les mains pleines d'huile sur un vieux torchon et demande :

"J'peux vous aider ? On a un peu de tout ici."

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Quant au docteur et à Selrahc, ils entrent dans le magasin d'informatique, qui possède deux étages. Il est paré d'ordinateurs et d'ustensiles en tout genre. Un Era les accueille et ses paroles graves pénètrent directement dans la tête des deux arrivants.

*On a rien à vendre.*

Un homme à queue de cheval apparaît alors et dit à l'Era :

"Laisse les clients tranquille. Excusez moi, je peux faire quelque chose pour vous ?"

L'Era regarde les arrivants, grogne un coup et s'éloigne en traînant. L'homme à queue de cheval le regarde disparaître entre les étalages et il soupire, puis il porte de nouveau son regard sur ses deux clients. Il ajuste ses lunettes et attends leur réponse.

J'ignore l'attitude de l'Era et j'explique rapidement ce qu'il me faut.
Pour le moment, Selrahc va probablement entrer en transe geek à cause de tous les ordis (le connaissant mais bon) mais ça ne durera pas longtemps et je ne veux pas qu'il se pose de questions. Légèremnt parono vu que je ne fait qu'acheter un ustensile.
"Bonjour, pourriez-vous me conseiller sur l'achat d'un ordiphone?
Pas très puissant, je ne suis pas un as de l'informatique, avec encodeur quantique; je hais l'informatique sur ADN. Mi-cloud.
Un qui ait de bonnes applis car j'ai l'intention de m'en servir pour le boulot.
Plus l'accesoire couverture de protection, sinon il ne va pas durer longtemps..."
Je jette un regard circulaire sur le magasin pour voir ce qu'ils ont.
*soupir* Peut-être que les trousses de secours se trouvent au deuxième étage.On peut toujours rêver...
Je regrette d'avoir laissé les autres sans surveillance. Que vont il encore casser?

Signé : Dr. Chopper le Tordu